"L'un des plus beaux des quatorze couvents de l'AQUITAINE"
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LE PORCHE DES COMMUNS ( vers 1775)
Le second espace est constitué par la cour des hôtes
et ses deux ailes de bâtiments, où se trouvaient les écuries,
les greniers, la forge, l'hôtellerie. Si on pouvait accéder
à la cour des hôtes par la porte de l'est (déstinée
surtout
aux cargaisons des métayers), la porterie fût l'entrée
principale. Celle -ci toujours présente dans la réfection
du
XVIII ème siècle se trouve entre l'église et
le mur de clôture du cimetière paroissial et contre la conciergerie.
Le troisième espace comprend les viviers, le pigeonnier-lavoir,
les jardins et les fontaines.
Enfin tout au nord, à l'extérieur de la clôture,
mais contre elle : le cimetière des soeurs.
LAVOIR DU PIGEONNIER |
TOMBE DU COUVENT |
Le cloître est abandonné vers 1438, au moins jusqu'en
1499, où il est demandé une reconstruction.
L'Eglise n'est de fait restaurée qu'en 1530, puis l'ensemble
est à nouveau en ruine en 1581.
Comme à Baulour, les bâtiments sont relevés
à partir de 1620, mais avec la présence de la mère
supérieure
Françoise de Montesquieu. Fezansan (1765-1785) qui fit reconstruire
Baulour que sélève en 1784 le très
original pigeonnier-lavoir (fait en prique cuite foraines) fleuron
du Classicisme. Elle permet aussi la
reconstruction de la porterie et des communs (fait en brique
et galets : mode qui se propage à partir
de 1775).
Un vitrail de la Chapelle ( XIXe siècle)